Nouadhibou/Santé: la mairie organise des journées médicales au profit des populations

Le coup d'envoi des journées médicales organisées par la mairie de Nouadhibou en partenariat avec une Fondation médicale Espagnole a été donné, dimanche (25 février 2024) depuis le centre de la protection maternelle et infantile (PMI) de ladite commune.

Donnant le coup d'envoi de ces journées médicales, la première adjointe au maire de la commune de Nouadhibou, Mme Mana Mint Chekkar, a indiqué que de telles initiatives visent à "rapprocher la santé au citoyen", un des engagements du Député-maire M. El Ghassem Ould Bellali et du conseil municipal.

Et d'ajouter que la mairie compte assurer des services de santé complets aux normes essentiels dans tous les centres de santé communaux »

L’adjointe au maire a, à cette occasion, salué la dynamique des partenaires de la mairie de Nouadhibou. Selon elle, cette action est le fruit d’un partenaire actif mis en œuvre pour le bien-être des citoyens et des habitants de la ville.

Pour sa part, le représentant de l’équipe médicale de la FUNDACION DE MEDICOS DE LAS Palmas a affirmé que l’équipe est composée de spécialistes en pédiatre, dermatologie et pneumologie. Elle est venue en collaboration pour dépister certaines maladies chroniques.

Pour ce faire, a-t-il ajouté, notre équipe est dotée d'équipements modernes. Durant ces journées, les médecins espagnoles sont assistés de leurs collègues mauritaniens en fonction dans le centre PMI.

Les citoyens rencontrés ont magnifié cette initiative prise par les autorités municipales. « Nous remercions le maire pour cet acte généreux ». « Nous n’avons pas les moyens financiers pour se déplacer vers Nouakchott ou dans les cliniques privées pour des analyses médicales , des soins intensifs et l’achat de médicaments coûteux », raconte la maman d’un enfant malade.

Pour rappel, cette initiative de sept jours ( du 25 février 2024 au 2 mars prochain ) vise à assurer des consultations médicales et à s’enquérir de l’état de santé des populations qui se présenteront.

Par Boubakrine Ould Sidi / Futur Afrique